tefal

Tout d’abord, contrôlez que vos laitages auront bien rencontrés le pie d’une vache, des fruits ou du sucre le cas échéant… Que votre compote est faite en fonction de la formule centenaire (50 % fruits, 50 % sucre)… Que le chocolat de votre gâteau est bien issu d’une cabosse de cacao, s’il s’agit d’un chocolat nature ou au lait… Mais il ne devrait pas avoir autre chose que du cacao, beurre de cacao, sucre et lécithine qui est seule autorisée…

Choisissez des ingrédients à cuire en cocotte Tefal

tefalSi vous le pouvez, n’utilisez pas les mauvais ingrédients… Comme la confiture au sirop de glucose-fructose… Ou le chocolat avec de la graisse végétale… Du riz ou des pâtes en sachet prêts-à-cuire). Ils finiront sans doute par aller là ils n’auraient pas dû sortir : le néant. Mais privilégiez les produits qui se prêtent à la cuisson en cocotte-minute Tefal par exemple.

Soyez un éco-consommateur

Se nourrir est également un problème de bon sens. Soyez adultes et choisissez les moins dispendieux en ce qui concerne l’emballage (vous le payez aussi à la caisse, c’est toujours plus lourd, et il faudra tout sortir une fois arrivé à la maison, tout ça va remplir la poubelle… En plus c’est mieux pour notre environnement). Chez votre poissonnier, choisissez les variétés de poisson qui ne seront pas les proies de la surpêche, 1 espèce sur 3 va peut-être disparaitre. Il serait bien d’éviter la perche du Nil, qui semble être responsable d’une catastrophe écologique à l’intérieur des plus importants lacs africains. Apprenez préparer les autres poissons (couramment moins chers) en prenant les conseils du commerçant. Certains vous proposeront de devenir végétarien pour minimiser votre « empreinte carbone » … Cependant nous aimons trop le steak pour diffuser ce type de conseils ! Mangez tout ce que vous aimez, mais sans excès… En prenant votre temps ! Temps que vous pourrez avoir, grâce à nous.

Quelques petites notions de diététique pour la ménagère de moins de cinquante ans

tefalIl est dit qu’il faudrait prendre le petit déjeuner comme un roi, déjeuner comme font les princes et diner à la manière d’un manant… La majeure partie des foyers feront l’inverse : le petit déjeuner est vite éjecté, le déjeuner, en ce qui concerne les adultes, est éliminé au profit d’un sandwich vite avalé avec un café ou d’un complément amincissant au saveur infâme, et au coucher tous ensembles, tout le monde se rattrape des insuffisances quotidiennes. Le petit déjeuner est presque exclusivement composé de sucreries pour sa douceur et par manque de temps. Les saucisses, fromages, jambons, poissons fumés, œufs ou pâtés du matin de quelques-uns de nos voisins de l’Europe semblent bien étranges. Il en a cependant été de même en France, en des moments plus anciens… Nous avons gardé les tartines-beurre-confiture, le laitage ou les boissons tièdes, les jus par habitude.

Cependant ce qui est salé au petit déjeuner n’est pas du tout déplaisant et mérite d’être considéré. Un bon petit déjeuner est indispensable pour bien commencer sa journée. On dit que c’est le repas le plus indispensable du jour : à la suite d’un jeûne d’une dizaine d’heures, l’organisme a la nécessité de se réconforter. En équilibrant en protéines, sucres lents, sucres rapides et lipides, cela permettra d’attendre tranquillement le déjeuner sans avoir faim tout en conservant une attention optimale toute la matinée… Le déjeuner est par conséquent copieux mais, cependant pas trop, et le diner, bien plus léger, fait de potage et de salade, ce qui passera super bien.

Et si on commençait à faire diner les rejetons à 16 h 30 en rentrant de l’école ?

Pour éviter le stress de la fin de journée, qui est souvent néfaste à l’arrêt du tabac. Pendant longtemps, je me suis battu : pour que mes enfants ne se ruent pas sur le pain et le chocolat en arrivant de l’école, très affamés. Pour qu’ils ne mangent pas à 18 heures… Pour qu’ils aient même faim des « excellentes choses » du diner… Pour qu’ils fassent leurs devoirs d’école… Prennent leur bain, soient là pour le diner à l’heure, nous aident à desservir, se brossent les dents, puis aillent se coucher…

Chacune de ces étapes étant agrémentées d’incessantes indications pour respecter le « timing ». Cela donne ainsi la possibilité de les déposer au lit à une heure acceptable (entre 20 h et 20 h 30). Un jour, j’ai voulu appliquer la formule d’une amie (mère de 10 rejetons …) et de leurs donner le diner en arrivant de l’école. Ce fut le miracle : ils mangèrent leur potage et le reste du diner sans dire un mot. Ils auront eu à la suite, énormément plus de temps qu’habituellement pour jouer, faire leurs devoirs d’école et leur toilette du soir. Ils furent au lit 19 h 30 et passèrent une excellente 1/2 de lecture.

Il est évident que cette approche suppose une modification de l’organisation… Le diner devra être prêt en arrivant, et c’est plus aisé quand tous les rejetons sortent de l’école à la même heure. S’il y a un risque d’avoir faim plus tard dans la soirée, on pourra leur proposer de choisir le dessert (qui devient alors le goûter) à la suite du bain. Il est plus aisé de tester cela en hiver quand la nuit commence tôt et qu’on n’a pas de petits copains la maison pour jouer ! Les avantages seront évidents : une gastronomie plus saine (qui pourra honnêtement compenser les apports diététiques d’un choco fourré…), des économies (il n’y a plus la nécessité d’acquérir de goûter), plus de temps pour faire la digestion avant de se coucher et par conséquent, les enfants auront l’appétit pour prendre un petit déjeuner bien copieux le lendemain matin. Il y aura énormément moins de tension à la maison aussi… Mais un diner tranquille avec son conjoint ou compagne.

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